Le 28 février 1936, le soliste Bronislaw Huberman donne un concert au Carnegie Hall de New York. Des deux violons qu'il a emportés, un stradivarius et un guarnerius, il choisit ce dernier. Quand il sort de scène, le stradivarius s'est volatilisé et ne refera pas surface avant de nombreuses années. L'histoire de l'instrument disparu avait commencé par une nuit d'hiver 1706, dans une vallée des Alpes italiennes, quand un bûcheron choisit l'épicéa qu'il allait abattre en cette lune noire de janvier. De sa conception par le maître luthier Stradivari jusqu'aux rebondissements rocambolesques et véridiques qui suivirent l'enlèvement, Frédéric Chaudière raconte l'existence mouvementée d'un violon trop convoité sur un rythme de roman-feuilleton : durant trois siècles, en effet, le stradivarius cristallise et déchaîne les passions des artisans, des musiciens, des mélomanes, des amoureux de l'art, du profit et de la gloire.
Une histoire vraie (mais romancée) et assez incroyable, très agréable à lire, qui passe par des ateliers de lutherie de Crémone aux clubs de jazz de New York, des salles de concert aux prisons fédérales, des palais des rois aux maisons des bas fonds...
Une histoire vraie (mais romancée) et assez incroyable, très agréable à lire, qui passe par des ateliers de lutherie de Crémone aux clubs de jazz de New York, des salles de concert aux prisons fédérales, des palais des rois aux maisons des bas fonds...
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