" Cette pierre que tu poses devant toi... devant laquelle tu te lamentes sur tous tes malheurs, toutes tes misères... à qui tu confies tout ce que tu as sur le coeur et que tu n'oses pas révéler aux autres... Tu lui parles, tu lui parles. Et la pierre t'écoute, éponge tous tes mots, tes secrets, jusqu'à ce qu'un beau jour elle éclate. Elle tombe en miettes. Et ce jour-là, tu es délivré de toutes tes souffrances, de toutes tes peines... Comment appelle-t-on cette pierre ? " En Afghanistan peut-être ou ailleurs, une femme veille son mari blessé. Au fond, ils ne se connaissent pas. Les heures et les jours passent tandis que la guerre approche. Et la langue de la femme se délie, tisse le récit d'une vie d'humiliations, dans l'espoir d'une possible rédemption.
Un livre étrange et je dois dire qu'à la fin je ne savais pas si j'avais aimé ou pas ; un livre dur en tout cas et qui nous montre bien la condition féminine en Afghanistan. C'est un texte court qui se lit d'une traite et qui révèle une grande maitrise de la langue française quand on sait que c'est le premier roman de cet auteur écrit directement en français. La fin, ou devrais-je dire les fins, m'a laissé perplexe car violente, presque incongrue et surtout on ignore si elle est porteuse d'espoir ou pas?
Un livre étrange et je dois dire qu'à la fin je ne savais pas si j'avais aimé ou pas ; un livre dur en tout cas et qui nous montre bien la condition féminine en Afghanistan. C'est un texte court qui se lit d'une traite et qui révèle une grande maitrise de la langue française quand on sait que c'est le premier roman de cet auteur écrit directement en français. La fin, ou devrais-je dire les fins, m'a laissé perplexe car violente, presque incongrue et surtout on ignore si elle est porteuse d'espoir ou pas?
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